Badluck: tournage d'un travail de fin d'études multimédia
Corentin Capelle et Samuel Gillard, étudiants en master multimédia à l'IAD en 2020, ont réalisé ensemble "Badluck", un court métrage intégrant images en décors réels, effets spéciaux et animation 3D. Voici quelques photos prises lors du tournage.
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Le "Clap" pour commencer un tournage marathon de cinq jours quasiment sans aucune pause pour l'ensemble de l'équipe.
Photographe: Sylvain Crasset
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Les deux compères: Sam et Corentin. Entre stress positif et joie de voir le projet enfin devenir tangible sur le plateau après une année de préparation.
Photographe: Sylvain Crasset
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Stéphane Delvigne, l'acteur interprétant le personnage principal du film: un scientifique un peu déjanté. Merci à lui pour cette belle performance.
Photographe: Sylvain Crasset
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Autres éléments importants du décors mis en place pour le tournage: plus de 200 fioles remplies de liquides colorés et autres alambics et cornues ... du gros, gros travail pour l'équipe déco.
Photographe: Sylvain Crasset
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Les besoins en zooms avants et arrières ont nécessités la location d'un objectif particulier pour permettre une plus grande fluidité lors du tournage.
Photographe: Sylvain Crasset
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Le fait d'avoir une grosse équipe sur un petit plateau nous a parfois contraints à "faire de la place" en installant par exemple le retour vidéo hors plateau.
Photographe: Sylvain Crasset
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Les tournages en multimédia sont l'occasion de travailler avec les autres sections de l'IAD. Ici, deux étudiants de la section image: Victor Darimont (chef électro) et Louis Muller (premier assistant caméra).
Photographe: Sylvain Crasset
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Le département habillage, maquillage, coiffure (HMC) en charge de l'apparence du comédien est loin d'être la cinquième roue du carrosse et joue un rôle essentiel.
Photographe: Sylvain Crasset
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Le tournage d'une scène nécessite la collaboration de tous, et notamment ici de Samuel qui avait la casquette de directeur VFX sur le plateau.
Photographe: Sylvain Crasset
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Coline Genot au maquillage qui avait comme mission de faire évoluer l'aspect physique du personnage principal tout au long du film.
Photographe: Sylvain Crasset
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Ajustement du cadre sous la direction d'Agnès Walpen, étudiante en image et directrice de la photographie.
Photographe: Sylvain Crasset
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Alexandre Garcia, cadreur sur le projet, dont le travail est étroitement lié à celui de la directrice de la photgraphie pour traduire en images les intentions du réalisateur.
Photographe: Sylvain Crasset
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Sur un tournage comme dans une symphonie, il faut un chef d'orchestre. Pour ce projet, le rôle de premier assistant réalisateur a été tenu avec brio par Arthur Angel, étudiant en montage-scripte.
Photographe: Sylvain Crasset
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Tout le tournage est encadré par des professeurs de l'IAD. Ici Benoît Darvaux, cadreur expérimenté ayant travaillé avec les frères Dardenne, propose un cadre précis pour le dernier plan du film.
Photographe: Sylvain Crasset
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La spécificité des tournages multimédia est l'utilisation intensive de blue keys (fonds bleus) sur lequels les images de synthèse viendront interagir avec les images tournées en réel.
Photographe: Sylvain Crasset
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L'une des difficultés pour l'acteur est d'interagir avec des éléments qui ne sont pas présents lors du tournage et seront ajoutés en post-production. La gestion de la lumière est centrale pour maintenir une cohérence entre réalité et effets spéciaux.
Photographe: Sylvain Crasset
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Le fait d'utiliser des effets spéciaux et de la 3D n'empèche pas d'avoir des besoins parfois importants en terme de décors réels.
Photographe: Sylvain Crasset